Depuis plus d’un an, nous accompagnons des élèves qui ont eu le courage de dénoncer des faits graves : violences volontaires aggravées, harcèlement scolaire, pressions institutionnelles.
Des faits qui ont profondément marqué ces jeunes et qui méritaient, à tout le moins, d’être entendus par le tribunal.
La semaine dernière, la décision de ne pas juger l’affaire a provoqué une onde de choc.
Une annulation incomprise, vécue comme un renoncement judiciaire.
Et désormais, c’est la presse nationale qui met en lumière ce qui s’est joué, ou plutôt, ce qui ne s’est pas joué dans cette affaire.
France 3 Hauts-de-France et La Voix du Nord reviennent en détail sur cette décision qui laisse un goût amer.
Une décision qui interroge, qui dérange, et qui relance le débat sur la capacité des institutions à protéger leurs étudiants lorsque des violences sont dénoncées.
À travers ces articles et reportages, un constat s’impose : la parole des victimes n’a pas été entendue.
Et c’est précisément ce silence que nous continuerons de combattre.
Nous restons pleinement mobilisés pour faire entendre la voix de nos clients et donner du sens à la défense.
👉 Lire l’article complet sur La Voix du Nord :
https://www.lavoixdunord.fr/1645568/article/2025-11-12/violences-et-harcelement-presumes-aux-arts-et-metiers-pourquoi-aucun-jugement-n
👉 Lire l’article complet sur France 3 :
https://france3-regions.franceinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/lille/harcelement-et-violences-presumes-a-l-ensam-de-lille-le-tribunal-annule-la-procedure-la-partie-civile-denonce-un-deni-de-justice-3248365.html